2009, année érotique (présence requise auprès du cadavre)

“Un intense non-sentiment”

***

Tout un chacun se retrouve un jour
Avec quelque chose en moins
J’regarde mes pieds qui suivent les trottoirs
J’arrive plus à m’mettre la main dessus
J’suis mal garée c’est malgré moi
Je me raccompagne devant chez toi

Tu sais depuis que t’es parti, je sais plus comment je m’appelle
Et les toujours se ramassent à la pelle

Tout un chacun sait qu’il est trop court
Le temps qui nous est imparti
J’me roule en boule dans du mauvais coton
À cause de… Tu vois je veux dire
Chasseur de prime, coupeur de tête
Mon ange, tu m’extermines à tort

Tu sais depuis que t’es parti, je sais plus comment je m’appelle
Et les toujours se ramassent à la pelle

Il aura fallu quatre hommes pour composer cette chanson. Quatre hommes. Quatre (hommes).

***

Quand le potentiel érotique du tapioca menaçait de mettre le feux aux poudres –

amour de paille, tu brûles en moi comme un feu dans la nuit (et ça dure le temps d’un feu de joie).

This entry was posted in Uncategorized. Bookmark the permalink. Post a comment or leave a trackback: Trackback URL.